6/05/2013

Quand Nabila rencontre De Groodt

Tout le monde fait ses choux gras de la rencontre psychédélique entre Nabila et Stéphane de Groodt, l'impertinent bonimenteur - et non "and Clyde", de calembours, moi ça tant que tu peux, qui officie sur Canal Plus le dimanche, un peu après la messe que l'on ne prie plus aussi souvent qu'Avent. 

Et tout le monde se gausse et se courbe d'un rire moqueur et sardonique - mot originaire de Sardaigne où l'on ne peut faire la nique à la soeur sans avoir le frère ou le père sur le dos, devant les réactions plus que naturelles - même si l'on peut penser parfois que le surfait est probablement refait, de la belle Nabila. "J'comprends rien !". Bon, moi finalement, l'humour de Groodt de Lascaux, j'avoue que c'est pas mon truc, en plume ou à poil. Sincèrement, je pratique pas comme vous pouvez le constater - qui n'est pas un verbe décrivant une masturbation féminine. Je ne peux me plier à cet exercice de Groodt (de Gien). 

Moi-même et ma personne ainsi que mon double schizophrène - organisation personnelle me permettant de prétendre à la carte famille nombreuse, avons bien souvent du mal à décoder - pourtant c'est en clair sur Canal+, la première vanne que le Stéphane il en a déjà ouvert 3 autres. Qu'il referme rarement d'ailleurs. Du reste. Moi non plus. Ma conclusion c'est que nous sommes tous des Nabila faux-culs, alors que le sien est vrai, à nous permettre de juger cette amphitryon de l'honnêteté intellectuelle. Et voilà comment on associe Nabila et le mot intellectuel. Elle seule avoue et de vous à moi on eût tous aimé être lui pour être proche d'elle, à ce moment-là, voire un peu plus tard.

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