A l'origine, ce verbe trouve son origine dans une expression du vieux Français qui exprimait le "désir des nibards". Par contraction orale et pragmatisme linguistique l'expression évolua sous la révolution, auprès des jeunes de banlieues toujours prompts à avaler les mots pour se démarquer des classes supérieures de la société par "deznibards". Cela inspira du reste Delacroix qui en fît un merveilleux tableau peut après la prise de la Bastille qui permit à la France d'acquérir un jour férié supplémentaire, dans son calendrier déjà fort troué.
Après la révolution industrielle et avec la popularité naissante de Freud, l'expression "Desnibards" se contracta une nouvelle fois pour produire le verbe "Déshiniber".
Quant à sa déclinaison sous la forme de "Déshinibiteur", les travaux des chercheurs en linguistique ne sont pas formels, mais il semblerait que l'expression "Deznibards" ait à une époque où l'Angleterre pratiquait le Français - tout du moins au sein de sa population quelque peu éduquée et cultivée, traversé la Manche et connu une évolution contractant l'expression originelle et le fameux "better" anglais qui signifie "mieux". Cela permit ainsi de produire le nom "déshinibiteur". Les travaux des chercheurs en linguistique n'étant pas formels, il existe bien évidemment une autre école qui fait voyager l'expression en Espagne ou "Deznibards" produisit "Déshinibiteur" par association et expression du désir des nibards avec sa bitte. Cette école de pensée justifie ses thèses par l'acte ô combien célèbre de la "cravate espagnole".
Toujours est-il que d'Angleterre ou d'Espagne, la déshinibition conditionne indubitablement une concentration excessive du désir des nibards. CQFD !
1 commentaire:
Ben trovato anche per non essa vero. Pas besoin de traduire mais pour Delacroix la déshinibition ne porte pas que sur les appâts mammaires exposés...
et Gavroche chante
'oui mais ça branle dans le manche
ces mauvais jours là finiront
et gare à la revanche
quand tous les pauvres s'y mettront'
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