En fervent admirateur de la culture japonaise, J. Chirac a dû être impressionné par cet exemple de dissolution de l'assemblée réussie par le premier ministre japonais, M. Koizumi.
Ce dernier, au pouvoir depuis 2001, lassé des blocages législatifs à ses projets de réformes (le dernier concernant les services financiers de la Poste japonaise), n'a pas hésité à dissoudre l'assemblée et convoqué des élections législatives anticipées. Suivi par ses compatriotes, le Premier ministre japonais va désormais disposer d'une confortable majorité pour travailler à réformer en profondeur un certain nombre de pans de la société japonaise.
Comme quoi, même un pays fortement empreint de tradition, est capable de modernité.
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