Décidément, je n'arrive pas à digérer cette loi qui prolonge une incarcération au-delà du jugement rendu. Cela s'ajoute au trouble de jouer avec l'ADN dans la législation. Le fait que ce ne soit plus l'institution judiciaire qui dispose de la décision finale. C'est viscéral. J'ai mal à mon pays...
Mais je ne le dirais pas mieux que Jean-Yves Le Borgne , président de l'Association des avocats pénalistes, donc je vous invite à le lire.
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