Intéressante situation hier soir au Grand Journal à l'occasion de la rubrique où les critiques mandatés par Canal livrent quelques adjectifs sur 3 ou 4 sorties de la semaine. Il se trouve qu'en ce qui concerne le film Coco, de et avec Gad Elmaleh, un des 3 critiques censés intervenir nous a expliqués qu'il n'avait pas vu le film car l'accès lui avait été refusé par la production. La raison étant que se critique de La Môme n'avait pas été jugée correcte par la boîte de productions.
Et là, on s'interroge. En fait, ce que je crois comprendre, c'est que ce critique s'est vu refuser l'accès à l'avant-première. En fait, il ne s'est sûrement même pas fait refuser l'accès. Il ne s'est tout simplement pas fait inviter. Et après tout, libre à la production du film d'inviter qui elle veut lors de la sortie d'un film... Alors vexé, le critique a préféré ne pas exercer son métier en payant sa place, ou pire, en allant voir l'objet de son métier, avec le commun des mortels, le public, le jour de la sortie. Non, le critique s'est drapé dans sa toge offusquée d'intellectule de l'art qui fait sa tête de lard. Et seul, face à la caméra de Canal, il a jubilé de son acte de rebellion et de son juste combat où il a risqué sa vie et défendu la cause de la liberté en dénonçant cette production qui ne lui avait pas offert le césame digne de son rang.
C...ard !
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